Grâce à mon expérience de recherche, j'ai découvert que les médias sociaux sont bien plus que ce que nous pensons qu'ils sont. Tout est parfaitement planifié, tout est là pour une raison, c'est un peu comme vivre dans un monde utopique. Tout au long de ces articles de blog, j'ai posé des questions : comment les médias sociaux affectent-ils notre santé mentale si nous vivons constamment un mensonge ? Si nous ressentons constamment la pression de monter un spectacle ? Est-ce que des gens comme nos amis proches et nos familles regardent simplement cette émission depuis les coulisses ? Comment cette stimulation constante affecte-t-elle notre santé mentale ? Dans un monde égocentrique, comment devrions-nous prendre soin des autres ? En jetant un regard plus approfondi sur les gens qui m'entourent et en leur posant des questions que je n'aurais normalement pas posées, j'ai découvert que les médias sociaux ont définitivement un effet négatif sur notre cerveau et je pense que les gens de ma génération sont d'excellents exemples car aussi longtemps que nous nous souvenons qu'il y a toujours eu une plate-forme de médias sociaux. Je me suis d'abord intéressé au sujet des médias sociaux et de la santé mentale parce que, surtout après le début de la pandémie et les lockdowns, j'ai constaté que mon utilisation des médias sociaux avait augmenté de façon exponentielle, en particulier TikTok où je pouvais passer des heures à parcourir la page For You.
Au cours du semestre, j'ai commencé à examiner de plus près les médias sociaux, à être plus critique envers les messages qui apparaissent sur mon algorithme, à observer les gens autour de moi, à voir quel type de contenu ils publient ou à remarquer combien de fois ils sortent leur téléphone. pour faire défiler les médias sociaux pendant que nous traînons. Mes résultats ont été choquants car la plupart de cela fait désormais partie de la norme sociale que nous ne remarquons pas particulièrement tant que nous n'y prêtons pas attention. C'est comme si dans un monde qui n'a jamais été aussi connecté, nous étions les plus déconnectés que nous ayons jamais été.